Il n'y aura pas d'avancée majeure dans le jardin tant que l'appartement ne sera achevé et le déménagement de Paris acté.

Morceau de fresque de l'appartement parisien, qui ne sera bientôt plus qu'un souvenir

Morceau de fresque de l'appartement parisien, qui ne sera bientôt plus qu'un souvenir

Il pleut. Normalement ça va durer un tantinet, deux, trois ou quatre jours. Les nuages s'accrochent en face sur la colline, ça m'impressionne, j'ai l'émotion orientaliste d'être dans la jungle. 

Il ne fait pas froid, à fleur de peau, je dirais, 13 à 15 degrés. 

De mon poste d'observation (ma chambre, qui deviendra le salon) je guette avec des jumelles les mouvements perceptibles dans le jardin. Je peux presque tout voir. Savage Peeping Tom si on veut. Fenêtre sur jardin. J'aurais vu un renard se faire assassiner par un sanglier, des querelles d'oiseaux... et la danse matinale des branches dans le vent. 

Nous sommes dans une vallée. Le matin, l'air frais descend de la montagne, le soir, l'air chaud remonte de la côte. Ce mouvement a été accentué par la construction de la Pénétrante du Paillon (la route), avec son tunnel dans la montagne, construit il y a plus de dix ans de ça, et qui a transformé la zone rurale en zone périurbaine. 

Ah, mais... Le soleil se pointe, qui l'eut cru... !

 

Plui plui tom
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