Changement de plan : vers plus de réalisme.
Je suis tombée malade au mois d'août, pendant la canicule, et j'ai dû me faire hospitaliser. J'ai tiré sur la corde...Un peu trop rudement... Avec mon caractère extrémiste et têtu...
Etant actuellement en rémission, je ne peux plus consacrer l'essentiel de mon temps au jardin. D'ailleurs, je vois bien que je n'ai pas assez de connaissances, pas assez d'intelligence pratique, pour en faire mon gagne-pain.
L'idée serait désormais de s'occuper du jardin durant les temps libres, comme le font la majorité des gens, quand il s'agit d'agriculture naturelle (biologique, biodynamique, permaculturelle...).
Les chaleurs écrasantes des mois de juillet, d'août et septembre sont enfin passées. Il est à nouveau possible de travailler sur un terrain en restanques, exposé sud-ouest, sans suer sang et eau.
Donc, j'ai repris le jardinage cette semaine, en plantant les quelques mâches qui végétaient à l'ombre dans leurs godets, en ramassant les olives et les dernières courges longues, en taillant quelques arbres, en préparant un peu de compost et un peu de BRF.
Avec ma grand-mère, 81 ans et toujours vaillante, Fidji, son chat, le caïd de la Bégude. Un tas de courges de bonne taille, des kg d'olives.
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L'intérêt du "non labour" confirmée
CHARRUE. Les chercheurs du collège d'agriculture de l'Université d'Illinois ont voulu en avoir le cœur net. Est-ce que les comparaisons entre méthodes de labours faites dans les fermes du Midwe...