Les travaux en cours et à venir
Les travaux urgents
La barrière (pour empêcher les sangliers de venir dans les zones de culture et faire des dégâts en toute saison) :
On a commencé à monter sur le côté. Plus difficile d'installer en côte. Voilà on nous en sommes :
A certains endroits, la barrière était trop basse ! Adjonction de branches plus hautes pour empêcher les sangliers de passer au-dessus. Par ailleurs, comme déjà dit ci-dessus, en montée, une barrière est plus difficile à installer.
Autres travaux
Le poulailler : nous hésitons encore à réparer la maisonnette. De mon avis, ça va être compliqué, il faut au moins être trois et pour le moment c'est donc en stand by.
Mon oncle nous a soufflé l'idée de construire une plus petite cabane à l'intérieur même du grillage, en attendant de pouvoir réparer la maisonnette. Mais pareil, être au moins deux pour ce travail, car je fais trop de déplacements et de petites choses à droite et à gauche.
Ou alors, je m'organise quelques jours dédiés à ça, afin que nous puissions avoir des poules le mois prochain.
Mais encore, attendre que la barrière soit terminée.
Porte cassée pouvant servir comme matériau de construction. Différentes images de la maison du poulailler, des trous à combler.
Une idée de serre souterraine, qui permettrait de cultiver en hiver :
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Construire une serre souterraine pour cultiver toute l'année : mode d'emploi !
Pour environ 250 euros, vous pouvez construire une serre souterraine, aussi appelées Walipini ou Walipinas, qui vous permettra de jardiner toute l'année même durant les saisons froides. Le principe
"Initialement développée dans les année 90 pour les régions montagneuses d’Amérique du Sud, cette méthode a permis aux agriculteurs, ou qu’ils se trouvent sur la planète, de maintenir un potager productif 365 jours par an. Les serres souterraines sont ainsi devenues une alternative abordable et efficace aux serres traditionnelles."
Pour chaque parcelle, il faudra aussi que je fasse des bordures un peu plus soignées, permettant de coffrer les 20 à 30 centimètres de paillage protecteur. Pour le confort visuel aussi.
Sur les terrasses plus haut, je voudrais faire de grands coffrages arrivant à la taille, car c'est tellement pratique de ne pas toujours devoir se baisser.
Sinon : toilettes sèches, box pour les poules...
J'ai rencontré un faisan près de la barrière. Les voisins qui me voyaient par leur fenêtre lui courir après en lui criant :
"Viens ici Kiki voyons petit Kiki viens là"
M'ont dit que c'était un dégénéré consanguin pour que celui-ci me permette de l'approcher de si près, sans doute un laché de faisans pour la chasse.
Alors il n'était pas si stupide, juste complètement désorienté.
Quelques pommes de terre (je dirais six ou sept pieds pour le moment) apparaissent. Ici, ce pied est entouré de petites pousses de lin, plante adventice servant à éloigner le doryphore, friand de pomme de terre.
Le poirier Beurré Hardy est en feuilles à présent. C'est sa deuxième saison dans le jardin, il a été implanté en février et depuis je m'inquiète de savoir si cet arbre, qui n'aime pas les sols calcaires, va se plaire ici. Je le chouchoute : paillage, arrosage, il est très surveillé.
L'odeur de ce prunier (ou cerisier, diantre, je ne sais pas, normalement les pruniers ont déjà fleuri ici) est délicieuse. Des centaines d'abeilles le butinent au même moment.
En haut, plein de carrés d'expérimentation. Ici, par exemple, une fève au centre, de nombreuses jeunes pousses de phacélie, de navets et de radis.
Ici, j'ai utilisé une méthode plus traditionnelle : tout en ligne, ce qui est censé optimiser l'espace. Tout ces légumes apprécient considérablement être les uns à côté des autres. La ciboulette, par exemple, donnerait bon goût aux carottes.